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Marbré
Par ns_conseil | Le 2018-04-30
Je vous l'avais partagé en photo sur ma page facebook et certains en avait eu l'eau à la bouche (et vous aviez raison! il est bon, moelleux et aéré!!!) alors j'ai décidé de vous partager la recette que j'utilise pour ce marbré.
Niveau un peu plus corsée et surtout un peu plus de patience, car cette recette nécessite de séparer les blancs des jaunes et par conséquent monter les blancs en neige, puis les incorporez délicatement, pour l'effet extra-moelleux et extra-aéré. Mais vous verrez que le jeu en vaut la chandelle!!!
Pour le coup, je prends également le temps de transcrire ma recette, car la mienne est sur un morceau de papier,arraché d'un cahier, écrit à la main avec des tâches de ???, (certainement copié chez une copine, avant l'ère internet! et non, ne vous moquez pas, je ne suis pas si vieille que ça, mais fût un temps, l'accès internet n'était pas si instantannée!)
Ingrédients:
- 75g de beurre mou
- 200g de sucre
- 20cl de lait
- 250g de farine
- 3 oeufs
- 1 paquet de levure
- 1/2 tablette de chocolat noir (env. 100g)
Préparation de la recette:
- Préchauffez le four à 180°C
- Mélangez le beurre mou (et non fondu) avec le sucre.
- Séparez les blancs des jaunes d'oeufs et mettez les blancs au frais.
- Ajoutez au mélange beurre-sucre les jaunes d'oeufs, la farine, la levure et 15 cl de lait. Mélangez bien.
- Laissez reposer le temps de monter les blancs en neige. Les incorporer délicatement à la préparation.
- Faites fondre la tablette de chocolat (acssée en petit carrés) avec 5 cl de lait au microondes ou au bain Marie.
- Séparez la pâte en deux: environ 2/3 et 1/3.
- Dans le saladier avec le tiers de la pâte, ajoutez le chocolat.
- Versez les deux pâtes dans un moule préalablement beurré en alternant pâte nature et chocolat. Essayez de finir par la pâte nature.
- Enfournez et faire cuire pendant 40 minutes à 180°C.
- Sortez le gâteau du four, le démouler et le laisser refroidir.
Quelques astuces:
- Pour ceux qui font attention au sucre, vous pouvez facilement diminuer le sucre d'au moins un tiers et jusqu'à la moitié de la quantité indiquée. (j'ai essayé, je fais attention au sucre pour ma fille, pas à cause du poids, mais à cause de l'agitation que ça lui cause).
- Dans un moule à cake, dans un moule à manquer, en couronne, laissez vous inspirer!
- Si vous voulez faire joli vous pouvez dans un moule à manquer rond déposer une cuillère de pâte nature et pâte chocolat en alternance les uns au-dessus des autres. La pâtes s'étale toute seule et à la découpe après cuisson, celà vous fait quelque chose de très régulier. Seulement pour les plus patients entre nous. Personnellement, je verse un peu de pâte nature, un peu de pâte chocolat et ainsi de suite, puis je passe le couteux dedans pour faire un semblant de mélnage.
Et maintenant, dégustez!!! Bon appétit, bon goûter!
Et laissez-moi un petit commentaire si vous avez apprécié, ou si vous avez une remarque.
(J'avoue je préfère le petit commentaire positif bien sûr!!)
Barre céréale sans cuisson
Par ns_conseil | Le 2018-03-20
Barre céréales sans cuisson
Pour 6 personnes
Temps: 1 nuit de trempage + 15 min de préparation + 4h de réfrigération
Ingrédients:
- 12 figues sèches
- 80 g de purée de cacahuètes
- 5 cL de sirop d'érable
- 100 g de flocons d'avoine
- 80 g de graines de tournesol
- 40 g de graines de sésame
- 1 pincée de sel
- La veille, faites tremper les figues. Le lendemain, égouttez-les, ôtez le pédoncule et déposez-les dans le bol du mixeur. Ajoutez la purée de cacahuètes, le sirop d'érable et le sel. Mixez bien pour obtenir une pâte homogène.
- Déposez cette pâte dans un saladier et ajoutez les flocons d'avoine, les graines de tournesol et les graines de sésame. Mélangez bien.
- Tapissez un plat rectangulaire de papier sulfurisé, puis versez la préparation. Tassez bien et placez au réfrigérateur au moins 4h.
- Quand la préparation est bien prise, découpez des rectangles. Vous pouvez conserver les barres de céréales un mois au réfrigérateur.
> Astuce 1: vous pouvez varier les goûts en utilisant des dattes à la place des figues, de la purée d'amandes ou de noisettes à la place de la purée de cacahuètes, du sirop d'agave à la place du sirop d'érable, des graines de tournesol et de lin à la place des graines de tournesol et de sésame.
> Astuce 2: Pour une version sans gluten, essayez les flocons de riz, de millet ou de quinoa.
Source: Fait maison - Bon & sain - recettes testées à la maison : Végan, Karen Chevallier, Editions Hachette cuisine
Les pesticides: quel effet sur notre santé?
Par ns_conseil | Le 2017-10-08 | Dans Environnement
Les pesticides, qu’est-ce que c’est et quel impact sur notre santé ?
Définition
Un pesticide est une substance chimique utilisée pour lutter contre des organismes considérés comme nuisibles. C'est un terme générique qui rassemble les insecticides, les fongicides, les herbicides, les parasiticides.
Les pesticides font partie des biocides. Les biocides incluent les produits dits phytosanitaires ou phytopharmaceutiques. Ils incluent aussi des produits qui soignent les animaux ou l'homme (antiparasitaires externes ou internes par exemple). Ils peuvent désigner des molécules actives seules, ou des formulations associant plusieurs molécules ou des molécules actives et additifs (surfactants par exemple).
Chaque groupe chimique produit des métabolites au sein des organismes vivants ou des résidus en se dégradant spontanément. Ces résidus ou métabolites sont plus ou moins dégradables et susceptibles d'être retrouvé comme polluants de l'environnement ou contaminants de la nourriture ou de la boisson.
La réglementation
L’Union européenne, et notamment la France, se sont engagées dans un processus de réduction de l’emploi de pesticides dans l’agriculture. En France, un plan interministériel de réduction des risques liés aux pesticides a été mis en place en juin 2006 et le Grenelle de l’environnement a confirmé les orientations de ce plan en prenant plusieurs engagements. Parmi ceux-ci:
- la réduction de moitié, à l’horizon de 10 ans, si possible, de l’emploi de pesticides de synthèse (plan ECOPHYTO 2018).
- le passage en agriculture biologique à 6 % de la SAU (Surface Agricole Utile) en 2010, en visant 20 %en 2020.
Dès 2008, plusieurs mesures ont déjà été prises, notamment l’interdiction de 30 produits jugés les plus toxiques, l’instauration d’une taxe sur les phytosanitaires, croissante avec leur niveau de toxicité, taxe qui devrait augmenter au fil des années et l’octroi de crédits d’impôt en faveur de l’agriculture biologique.
Des pesticides dans nos aliments
Selon le Pr Jean-François Narbonne, toxicologue et chercheur au CNRS, les pesticides et en particulier ceux qui sont mis en aérosol (utilisés notamment en arboriculture) vont contaminer les sols et éventuellement les nappes phréatiques. Ces pesticides exposent les agriculteurs s'ils n'ont pas leurs équipements individuels de protection. En ville, il y a des taux de pesticides dans l'atmosphère et il y a par l'eau de pluie des produits atmosphériques qui se précipitent au sol. Dans les lacs de montagne, on trouve également des traces de pesticides qui ont été amenées par la neige ou les précipitations atmosphériques. Les nuages de pesticides se déplacent en fonction des vents comme la pollution atmosphérique des villes se déplace à la campagne.
Selon l'InVS (Institut de Veille Sanitaire) , d'après les analyses faites en 2006-2007 chez 3 100 personnes dans le cadre du programme national nutrition santé (PNNS), le sang d'un Français moyen contient presque toujours des pesticides organophosphorés et trois fois plus de certains pesticides (pyréthrinoïdes, paradichlorobenzène) que celui des Américains ou des Allemands, alors que leur taux sanguin de métaux lourds et de pesticides organochlorés est comparable aux concentrations observées à l’étranger.
Une étude analysant les menus d'un enfant de 10 ans révèle que les aliments ingérés en une journée contiennent pas moins de 128 résidus chimiques.
C'est l'association Générations futures qui a relancé le sujet en décembre 2010, en faisant analyser en laboratoire tous les aliments qui entrent dans la composition des repas d'un enfant de 10 ans. Et ce n'est pas rassurant pour les parents...
Fongicides, insecticides, herbicides… Les pesticides sont utilisés en agriculture pour lutter contre les organismes nuisibles aux cultures. Résultat : des résidus de pesticides sont présents dans les fruits et légumes que nous mangeons tous les jours. De quoi préoccuper les consommateurs. Selon François Veillerette, porte-parole de l'Association Générations futures, on va trouver plus fréquemment des pesticides sur les légumes feuilles, comme les salades, sur le persil, sur les haricots verts… Sur tout ce qui est en surface et sur lequel on va pulvériser les fongicides. On va aussi en trouver plus fréquemment sur les poires, sur les fraises, les pêches, les nectarines, les framboises et sur les pommes, qui est également le fruits le plus consommé en France.
Les effets des pesticides sur notre santé
Ces produits chimiques seraient responsables de nombreuses affections qui vont des cancers à l'infertilité ou la maladie d'Alzheimer...
Dans les laboratoires de l'Inra, des chercheurs tentent de répondre à la question de l’impact des pesticides sur notre santé. Plusieurs années d'études ont permis aux chercheurs de l'Inra de démontrer que chaque molécule prise séparément n'a pas ou peu d'effet toxique sur les cellules, alors que mélangées à faible dose (effet cocktail ou effet mélange), on constate un effet sur l'endommagement de l'ADN et la toxicité.
Un endommagement de l'ADN peut être réparé correctement. Mais en cas de problème lors de la réparation de cet endommagement, il peut y avoir apparition de mutations dans la cellule et donc à plus long terme avoir un effet cancérigène du produit. Dans cette expérience, les cellules ont toutefois été exposées à des doses de pesticides bien supérieures à celles que l'on retrouve dans notre alimentation. Pour cette raison, les toxicologues relativisent l'impact de cet effet cocktail sur notre santé. Exposé à faible dose aux pesticides, notre ADN serait donc préservé.
Les autorités de santé estiment que notre exposition alimentaire aux pesticides est trop faible pour être nocive. Mais aujourd'hui seule la toxicité de chaque molécule est prise en compte. L'effet cocktail lui n'intervient pas dans l'évaluation des doses journalières tolérables.
Selon François Veillerette, porte-parole de l'Association Générations futures, les quantités que l'on retrouve peuvent paraître faibles, mais à comparer avec les niveaux que l'on accepte dans l'eau, c'est beaucoup plus. Ce qui inquiète beaucoup, c'est une catégorie de ces pesticides qu'on appelle perturbateurs endocriniens, c'est-à-dire qui peuvent interférer avec le système hormonal et perturber son fonctionnement et qui peut agir à des doses très faibles. D'autant plus qu'on n'a pas une seule molécule à la fois mais on va trouver un cocktail de ces molécules. Et cela pose des questions spécifiques sur les perturbateurs endocriniens où les doses limites censées garantir une absence d'effets ne sont plus pertinentes parce qu'on sait que la femme enceinte et le foetus sont particulièrement sensibles à ce produit même à faibles doses.
On trouve encore des vieux pesticides interdits depuis 30 ans parce que ce sont des produits persistants. Il y a donc ces contaminants qui sont dans notre alimentation, mais ils sont à des doses beaucoup plus faibles. Il faut savoir que sur 1 300 molécules qu'il y avait dans les années 1970, on est plus qu'à 300 molécules actives aujourd'hui. Donc il y a eu énormément de choses qui ont été faites.
Certains pesticides seraient aussi cancérigènes et toxiques pour le système nerveux. Il existe bien une réglementation à l'échelle européenne : les LMR, les limites maximales de résidus de pesticides autorisées. Chaque pays est tenu d'effectuer des contrôles mais ils sont souvent insuffisants.
Alors que faire ?
Le Pr Jean-François Narbonne, toxicologue et chercheur au CNRS, conseille d’éplucher les fruits et les légumes, mais explique que les laver n'a pas beaucoup d'intérêt car souvent les pesticides sont mis dans des mélanges hydrophobes sinon ils seraient entraînés dans l'eau de pluie très facilement. On les met donc dans des préparations qui leur permet de passer les membranes et d'être hydrophobes. Laver fruits et légumes n'a donc pas d'impact, ni d'intérêt.
François Veillerette, porte-parole de l'Association Générations futures, conseille de peler les fruits pelables comme l'orange ou les bananes, car les pesticides se trouvent en majorité dans la peau et on peut donc, en épluchant les fruits, éliminer une grosse partie des pesticides. Il conseille également de privilégier le bio d'abord sur les fruits que l'on ne peut pas peler ou qui vaut mieux ne pas peler pour garder les vitamines, comme la pomme, la poire, la pêche, la framboise, le raisin… Pour ces fruits, il est préférable de prendre du bio car on bénéficie de l'absence de résidus de pesticides et on garde tout ce qui est positif dans la peau des fruits.
Autre conseil pour éviter d'ingérer trop de pesticides : privilégier les fruits et légumes de saison, si possible de provenance locale.
Pierre Souvet, président de l'Association Santé Environnement de France (ASEF) et le Pr. Jean-François Narbonne, toxicologue expliquent que le bio diminue l'exposition aux pesticides d'un facteur de 6 à 9. Le côté positif du bio est la diminution très marquée des résidus de pesticides. Le problème du bio est qu'il est cher et que la majorité des gens ne peuvent pas se le payer.
Alors :
- Il vaut mieux cuire à la vapeur, mais il ne faut pas tomber dans l'excès et le mieux est toujours de manger équilibré.
- Il ne faut pas éliminer d'aliments de notre alimentation à part peut être les poissons de fin de chaîne. Les poissons d'élevages contrôlés, sont moins pollués que les poissons de mer car aujourd'hui comme on contrôle l'alimentation des poissons, on a en moyenne de meilleurs résultats en terme de pollution sur les poissons d'élevages mais de qualité label.
- Il faut manger des fruits et des légumes de saison.
Nadine BOLDING-STOUTEN, diététicienne-nutritionniste
Bibliographie
- L’utilisation des pesticides en France : état des lieux et perspectives de réduction ; agriculture.gouv.fr ; 12/01/2012
- Alimentation : nos assiettes sont-elles toxiques ? – Par La rédaction d'Allodocteurs.fr - 05-01-2011
- Combien de pesticides dans nos assiettes ? - LE MONDE – 20/12/2012 - Mis à jour le 21/12/2012 - Stéphane Foucart
- Alimentation et pollution : que manger sans risque ? Alors que faut-il manger ? Par La rédaction d'Allodocteurs.fr Rédigé le 05/01/2011, mis à jour le 06/01/2011
Alimentation et pollution : du bio garanti de qualité ? Le bio est-il garanti sans pesticides et autres substances nuisibles ? Par La rédaction d'Allodocteurs.fr Rédigé le 05/01/2011, m
Detox ou intox?
Par ns_conseil | Le 2017-08-22 | Dans Régimes
La détox, c’est quoi ?
La détox se base sur le principe que le corps accumule des déchets, les toxines, qui peuvent à long terme perturber son fonctionnement. Les toxines peuvent être d’origine intérieure, c’est le corps lui-même qui les fabrique, ou elles peuvent être d’origine extérieure, il faut alors penser à toutes les agressions extérieurs que le corps peut subir : mauvaise alimentation, tabac, alcool, pollution, médicaments, additifs, .stress ... Certains symptômes peuvent alors apparaître : on peut se sentir fatigué, avoir une digestion difficile, le teint terne, les cheveux et les ongles cassants, être irritable, déprimé, avoir une moindre résistance aux infections.
En temps normal, le corps élimine ces toxines, mais il peut arriver qu’il ne puisse plus y faire face, et une cure détox peut alors venir en aide pour le purifier et lui donner un nouveau boost d’énergie.
Quelles cures de détox existent ?
Elles existent de toutes les sortes, avec ou sans produits laitiers, en monodiètes, végétaliennes, végétariennes, et de longueur variable : 1 jour, 3 jours voire plusieurs semaines. A base de jus de fruits, jus de légumes ou qu’à base de bouillon. Avec ou sans compléments alimentaires.
Qu’elle dure un jour ou plusieurs semaines, les principes sont les mêmes : on élimine tout excitant (café, thé, …), on évite les produits sucrés et gras, les produits industriels transformés, on favorise les fruits et légumes (crus, en jus, cuits en bouillon, en soupe, …), les produits animaux, s’ils sont autorisés, doivent être maigres, et on instaure une hygiène de vie saine (activité sportive, sommeil de qualité). Ceci permettrait au corps un repos intestinal, une élimination des toxines accumulées et un regain d’énergie.
Info ou intox ?
Les promesses d’une cure détox, ne sont soutenues par aucune preuve scientifique. Par ailleurs, les cures de détox pourraient véhiculer l’idée que l’on peut malmener son corps et son foie et qu’il suffit de faire une cure détox le lendemain pour tout arranger. Le terme détox en lui-même est ambiguë, car cela pourrait laisser croire que s’alimenter serait dangereux et pourrait pousser les gens à adopter des comportements alimentaires non adaptés voire à risque.
Aussi, les cures détox qui durent plusieurs jours voire plusieurs semaines peuvent carrément être dangereux pour la santé, puisqu’on se met en état de restriction alimentaire et on risque de créer des carences en vitamines et minéraux, une fonte musculaire et des hypoglycémies.
Entreprendre une cure de détox ne se fait donc pas à la légère et devrait si possible être encadré par des professionnels de la santé (un médecin, une diététicienne, un nutritionniste).
Ce qui est sûr, c’est que de prendre conscience des excès, de faire attention pendant quelques jours en allégeant les prises alimentaires, ne peut être que bénéfique pour le corps.
Mais alors que faire ?
En fait, c’est simple, plutôt que de se faire des cures de courte durée plusieurs fois par an, pourquoi ne pas adopter un mode de vie et une alimentation plus saine ? Une alimentation équilibrée et variée, en évitant les excès, avec une activité physique quotidienne, un bon sommeil (minimum 8 heures par nuit), et surtout écouter son corps et prendre plaisir à manger. En suivant ces simples conseils, le corps devrait pouvoir se détoxiquer seul sans besoin de cure. De cette façon, un excès un soir ne devrait pas non plus avoir trop d’effet sur le corps ou tout du moins être rapidement « absorbé ».
De manière générale, évitez de manger trop gras, trop sucré et trop salé, préférez les produits les plus purs/bruts possibles, bougez suffisamment, dormez au minimum 8 heures par nuit et vous verrez que vous vous sentirez déjà bien mieux !
Nadine Bolding-Stouten, Diététicienne-nutritionniste
Le Blog NS Conseil Nutrition Santé Diététique
Par ns_conseil | Le 2017-08-21 | Dans Actualités
Bonjour à tous!
Je me présente, je suis diététicienne – nutritionniste diplômée d’Etat et ingénieur agroalimentaire spécialisé en nutrition. Cette double compétence me confère une approche double de mon métier : à la fois le changement de l’alimentation pour améliorer sa santé et le choix des meilleurs produits pour y parvenir.
Au-delà du côté professionnel, je suis également, femme, épouse et maman, soucieuse d’une alimentation saine, équilibrée et durable, avec des produits de qualité et fabriqués selon des modes de production respectueux de l’environnement et de notre santé.
C’est cette démarche que je m’efforce de transmettre à travers mon travail: consultations diététiques, coaching nutrition-santé, ateliers de cuisine, éducation nutritionnelle, projets de prévention et interventions en entreprises.
Je consulte à votre domicile ou à mon cabinet.
A travers ce blog je souhaite partager avec vous des informations, des articles, des connaissances, des astuces, des recettes autour de l'alimentation, de la nutrition et de la santé.
J'espère que ça vous plaira et je vous dis à très bientôt pour un nouveau billet!
diététiquement,
Nadine Bolding-Stouten